Real Madrid-FC Barcelone : les conversations entre l'arbitre et la VAR ont fuitée

La Fédération espagnole publie les conversations VAR du Clasico : polémique autour d'un but refusé au Barça  La Fédération espagnole de football a créé la polémique en publiant les conversations entre l'arbitre principal, Soto Grado, et la VAR lors du Clasico d'hier soir entre le Real Madrid et le FC Barcelone (3-2).  Le point central de la controverse est le but refusé à Lamine Yamal.  Sur cette action, le jeune attaquant du Barça a marqué d'une frappe croisée, mais le ballon semblait avoir franchi la ligne de but avant d'être capté par Lunin.  Après consultation de la VAR, l'arbitre a finalement décidé d'invalider le but, estimant que le ballon n'avait pas franchi la ligne. La décision a suscité la colère des joueurs et des supporters du Barça, qui ont contesté la validité de l'arbitrage vidéo. La publication des conversations VAR n'a fait qu'attiser la polémique. On y entend en effet l'arbitre et les assistants VAR exprimer leur difficulté à trancher en raison du manque d'images concluantes. "On n'a aucune preuve que le ballon soit entré" Dans les enregistrements, on peut notamment entendre l'arbitre Soto Grado dire : "Pas de précipitation. C'est une décision très importante. Nous ne sommes pas pressés. Toutes les caméras." Un assistant VAR lui répond alors : "César, on reprend sur un corner. Nous n'avons aucune preuve que le ballon soit entré. Il a donc fait appel d'un corner. Nous n'avons aucune preuve que le ballon soit entré. Coup de pied de coin." Vers une remise en question de la VAR ?  Cette affaire soulève une nouvelle fois des questions sur l'efficacité de la VAR et son utilisation en football. La difficulté à trancher dans des situations litigieuses, comme ce fut le cas hier soir, alimente les critiques envers ce système censé apporter de la précision et de l'équité dans l'arbitrage.

 La Fédération espagnole publie les conversations VAR du Clasico : polémique autour d'un but refusé au Barça

La Fédération espagnole de football a créé la polémique en publiant les conversations entre l'arbitre principal, Soto Grado, et la VAR lors du Clasico d'hier soir entre le Real Madrid et le FC Barcelone (3-2).

Le point central de la controverse est le but refusé à Lamine Yamal. Sur cette action, le jeune attaquant du Barça a marqué d'une frappe croisée, mais le ballon semblait avoir franchi la ligne de but avant d'être capté par Lunin.

Après consultation de la VAR, l'arbitre a finalement décidé d'invalider le but, estimant que le ballon n'avait pas franchi la ligne. La décision a suscité la colère des joueurs et des supporters du Barça, qui ont contesté la validité de l'arbitrage vidéo.

La publication des conversations VAR n'a fait qu'attiser la polémique. On y entend en effet l'arbitre et les assistants VAR exprimer leur difficulté à trancher en raison du manque d'images concluantes.

"On n'a aucune preuve que le ballon soit entré"

Dans les enregistrements, on peut notamment entendre l'arbitre Soto Grado dire : "Pas de précipitation. C'est une décision très importante. Nous ne sommes pas pressés. Toutes les caméras."

Un assistant VAR lui répond alors : "César, on reprend sur un corner. Nous n'avons aucune preuve que le ballon soit entré. Il a donc fait appel d'un corner. Nous n'avons aucune preuve que le ballon soit entré. Coup de pied de coin."

Vers une remise en question de la VAR ?

Cette affaire soulève une nouvelle fois des questions sur l'efficacité de la VAR et son utilisation en football. La difficulté à trancher dans des situations litigieuses, comme ce fut le cas hier soir, alimente les critiques envers ce système censé apporter de la précision et de l'équité dans l'arbitrage.

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